mardi 12 juillet 2011

Dictionnaire des expressions selon... fiston

Voici un recueil de quelques mots et expressions utilisées par mon fils quand il parle ! C'est tellement mignon que j'ai voulu les inscrire ici afin de les garder dans ma mémoire (virtuelle).

Fouploush = fruit loops

mentines = clémentines

dodolit = l'heure d'aller se coucher

à mimière = il veut que je lance le ballon au plafond (mimière = lumière)

bicu = B.B.Q.

ipotame = hippopotame

isonne = téléphone (ben oui, ça sonne un téléphone !!!)

agoud = grenouille

agour = yogourt

la pluie = la météo !

Chipiss = chips

Diegodisque ou Diegomet = quand il veut écouter son DVD de Diego !

bazou = l'auto de mon chum (c'est une vieille auto...mais mon fils l'adore ! Desfois, mon chum doit même la prendre la fin de semaine pour faire des courses lorsqu'il amène Lucas car celui-ci fait une crise pour y aller en bazou et ce, même s'il fait 238943289 degrés et qu'il n'y a pas d'air climatisé dans l'auto).

nateur = ordinateur

lundi 11 juillet 2011

Mon casse-cou !

Des essais, sans résultat.

Il y a maintenant 18 mois que nous essayons de donner à mon fils un petit frère ou une petite soeur. Je prends des hormones et d'autres médicaments afin de nous donner un coup de pouce. Je suis présentement au stade où je dois prendre rendez-vous dans une clinique de fertilité, mais on dirait que j'ai peur. Je n'arrive pas à mettre le doigt sur ce qui me fait peur : le temps, l'énergie, les déceptions, les effets secondaires de d'autres médicaments, les coûts etc. Pourtant, j'ai vraiment envie de porter un autre enfant. J'ai plutôt le goût de faire confiance à la vie, mais là aussi j'ai peur, peur de le regretter...

Pas facile de naviguer à travers tout ça !

Non, mon blog n'est pas mort...et moi non plus !

Il y a longtemps que je désirais revenir écrire ici, mais le temps m'en a souvent empêchée. Mais me revoilà, prête à partager mes petits moments du quotidien avec vous.

Au plaisir !

vendredi 5 mars 2010

La fin de l'allaitement

J'aurais pu intituler ce billet de plein de manières : la fin d'une époque, le deuil de l'allaitement, le début de la faim et la fin et j'en passe. Or, rien n'est plus évocateur que "la fin de l'allaitement".

J'aurais pu vous raconter que j'aurais aimé allaiter jusqu'à cet été. J'aurais pu aussi vous dire que depuis une semaine, nous ne dormons plus, que depuis une semaine notre fils ne dort presque plus, qu'il ne dort que dans sa balançoire. J'aurais aussi pu vous dire qu'il avait des gaz et que nous croyions que c'était la cause des problèmes de sommeil. J'aurais aussi pu vous dire que c'est en appelant à info-santé, épuisée et inquiète, que j'ai compris quel était le problème (avec l'infirmière en ligne). J'aurais aussi pu vous dire que j'ai un pédiatre extraordinaire qui nous a reçu en après-midi après l'avoir appelé le matin. J'aurais terminé en vous disant que je ne produis plus assez de lait pour mon fils et que je dois lui donner ce que je n'aurais voulu jamais lui donner, du lait en boîte. J'aurais ajouté que c'est du "sans lactose" pour aider son bedon fragile et que déjà ça fait des miracles (dodo de 10h avec un seul réveil pour boire).


J'aurais tout dit ça quand dans le fond, ce que j'ai vraiment le goût de dire, les larmes au yeux, est que j'ai de la peine. Je savais que je devrais le sevrer un jour, graduellement. Je n'étais pas préparée à ce que ce soit aussi rapide et drastique. Je m'en veux de ne pas m'être rendue compte que ce n'était pas les gaz qui le réveillaient mais la faim, le manque de lait. Je m'en veux de ne pas l'avoir compris dans les messages qu'il m'envoyait. Ce manque s'est installé sournoisement, sans que je m'en rende compte. J'ai un deuil à faire et, avec un autre qui s'en vient (mon retour au travail début avril), ça en fait beaucoup à gérer pour mon coeur sensible de maman.


L'espoir, c'est que je sais que je vais passer au travers (oui je sais il y a pire dans la vie). Mon cerveau empêche mon coeur de trop dérailler. Il me rappelle que c'est ce dont mon fils a besoin, que ça le rend heureux et en santé surtout. Il me dit aussi qu'il y a des avantages au biberon, pas juste des inconvénients. Il me fait comprendre que je peux aussi avoir un moment privilégié avec mon fils quand je le fais boire. Il me rappelle que mon fils sera ainsi plus disponible pour me transmettre sa joie de vivre par son grand sourire et ses nombreux rires.


Être maman, c'est être capable de vivre ces moments difficiles et s'en servir pour être meilleure.


dimanche 14 février 2010

Joyeuse St-Valentin

Voici mon Valentin :-) Il a aujourd'hui 9 mois ! C'est un grand garçon. Il me donne plein de bisous, fait des grimaces (chut ! il ne faut pas le dire à papa !), s'excite et tend les bras quand c'est l'heure de boire où que j'arrive près de lui pour le prendre, s'asseoit seul, fait des bruits de bouche avec ses doigts comme Maman, rigole quand je lui fais une attaque de bisous et plus encore ! Tous les jours, il m'apporte de l'amour à profusion. Bon 9 mois et bonne St-Valentin mon poulet d'amour xxxx

Posted by Picasa